Georgie Ozvan
Avant toute chose, une petite explication sur le nom OZVAN. Je suis originaire d'un petit village de la baie d'Audierne qui se nomme Plovan. Étymologiquement Plo'Ozvan, le village d'Ozvan: Prêtresse, déesse ou sainte, qu'importe! J'ai voulu lui rendre hommage en portant ce très ancien nom celtique. J'écris depuis l'âge de sept ans car ma grand-mère avait eu la fâcheuse idée de me confisquer toutes mes BD de super-héros. Donc, j'ai commencé à écrire les histoires que j'avais envie de lire. J'ai publié une saga d'heroïc fantasy en épisodes dans un fanzine puis pendant une longue période de latence, j'ai écrit en gardant sagement mes romans dans un tiroir ou sur une clef USB. Et puis, il y a eu un déclic et j'ai écrit La reine des fléchettes, un polar noir. Les cases littéraires me donnent un sentiment de claustrophobie. La littérature de l'Imaginaire (opposée à littérature réaliste, je suppose) balaie d'un grand coup de vent les figures imposées (par qui ? Certainement pas les lecteurs). L'initiatique, le symbolisme et la mythologie sont des territoires privilégiés pour mes errances narratives. La culture celtique et sa mythologie tiennent un rôle important dans mes romans, y compris dans les polars tels que Breizh Metal , La revanche des forêts . Le métal, c'est-à-dire la musique du grawling et du gros son, servent de bande-son aux aventures de mes personnages, y compris dans Isolde de Pennmark car le folk metal possède ce côté sauvage et druidique qui constitue l'ossature de cette uchronie mythologique.
bibliographie :
CHEZ Bookelis et Librinova dans l’ordre de publication :
- La reine des fléchettes
- Breizh Metal
- La revanche des forêts
- Crever comme un chien, mourir en maître
- Le mystère des cartes florentines
Chez Wlad éditions :
- Isolde de Pennmark Tome 1 : La tapisserie du destin